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Pourquoi faire un bilan d'orientation Projetavie

  • dès l’âge de 14 ans, en 3e, la question se pose de se diriger vers une voie professionnelle (pour ceux-là choix d'un métier) ou générale et technologique (avec un choix d'options facultatives mais qui sont parfois déterminantes pour la suite des études).

 

  • Pour ceux qui suivent en voie générale, la nouvelle formule du bac leur demande de sélectionner des spécialités qui vont fortement impacter leurs possibilités en termes d’études post-bac.

 

Ces choix sont donc très prématurés car les jeunes, plus ou moins conscients de l’importance de ces décisions, sont encore en pleine construction de leur identité. Et pourtant il faut les faire le plus sérieusement possible.

Une véritable angoisse pour les jeunes et les parents !

1 - En France, les jeunes doivent faire des choix d’orientation très tôt :

2 - Au cours de mon expérience, je me suis aperçue que :

  • l'accompagnement des élèves dans leur orientation est très insuffisant :

la charge des missions des professeurs principaux (et leur manque de formation en orientation) et des conseillers d'orientation (Psy-EN) qui ont à gérer plus d'un millier d'élèves chaque année, ne permet pas que tous les élèves soient suivis individuellement et efficacement dans leur parcours d'orientation​

  • les jeunes ont rarement l'occasion de s'interroger sur qui ils sont et qui ils veulent devenir, et encore moins sur leurs rêves et leurs passions !

  • les compétences et les talents acquis en dehors du système scolaire sont très peu valorisés dans leur orientation, alors qu'elles sont aussi importantes et qu'elles sont souvent à l'origine de vocations professionnelles

 

  • la spécificité des jeunes à profil particulier (Dys, TDA, ...) n'est pas toujours prise en compte dans leur orientation (formations et métiers inadaptés)

 

  • de nombreuses personnes sont engagées dans un métier/travail qui ne leur plait pas, (1/3 en France), 54% parmi les 25-34 ans envisagent une reconversion professionnelle.

(Source : Studyrama)

 

  • de nombreux jeunes et leur parents sont déçus de la filière d'étude choisie, souvent par absence d'accompagnement dans leur orientation ; même si l'erreur (d'orientation) fait partie du chemin et peut être une expérience non négligeable et complémentaire, elle coûte cher en investissement personnel et financier aux étudiants, aux familles et à la collectivité

3 - Un bilan d'orientation est personnalisé et tient compte de ses spécificités. C'est une chance que l'on s'accorde pour :

  • y voir plus clair sur ses motivations, ce qu’on aime faire, se projeter sur des métiers.

 

  • apprendre à se connaître et découvrir tous ses points forts, ses talents, ses passions et ses valeurs sur lesquels s'appuyer et reprendre confiance

 

  • déterminer ce qui est du domaine du hobby et ce qui constitue une réelle vocation professionnelle ancrée dans la réalité économique

 

  • découvrir en combinant ses compétences, ses intérêts et sa personnalité, quelle voie prendre pour accomplir ce pour quoi on est fait et trouver le métier fait pour soi : on compte environ 12000 métiers aujourd'hui en France, dont une grande partie est inconnue des jeunes ; à l'heure actuelle les métiers évoluent très vite, chaque année de nouveaux métiers sont créés quand d'autres disparaissent ou subissent des mutations importantes

 

  • au moment de faire ses vœux Parcoursup, gagner du temps et de l'efficacité, les cursus d’études qui conviennent ayant été identifiés et étudiés avec attention, le jeune est serein et les parents aussi !

 

  • entreprendre des actions pour optimiser son CV et ainsi augmenter ses chances d’être admis aux formations visées

 

  • se donner les meilleures chances de réussir car quand on a choisi son chemin et que l'on sait où il mène, la motivation est là et elle est le seul moteur valable

 

  • se rassurer et se mettre en démarche proactive car quand on sait où l'on va et pourquoi, il n'y a plus qu'à !

*En 2018, une étude menée par le CNESCO révélait que 43% des jeunes commençaient leurs études supérieures sans savoir ce qu’ils voulaient faire ! Un jeune sur trois abandonne ses études 2 à 3 ans après le bac.

Quand faire un bilan d'orientation Projetavie

  • en 4e : si une orientation précoce est ressentie (3e prépa-pro)

  • en 3e : au moment du choix d'orientation en voie professionnelle ou en voie générale et technologique (et options facultatives)

Au collège :

Au lycée :

  • en 2nde pour le choix des spécialités de la 1ère générale ou du choix de la filière Technologique

  • en début de CAP ou de Bac Pro, en cas d'erreur d'orientation, pour se projeter au-delà

  • en 1ère : en cas de doute sur le choix de ses spécialités, en vue de la terminale, pour optimiser son CV Parcours Sup, pour se projeter dans les études post-bac

  • en Terminale : idem

En études supérieures :

en cas de doute sur la pertinence des études entreprises, pour le choix des cursus supérieurs, ...

 

Dans tous les autres cas, chaque parcours est différent ! reprise d'études, point sur ses choix...

Projetavie Orientation scolaire et professionnelle Annecy
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